À l’issue des trois tournois, Dylan Dos Santos termine largement leader au classement avec une finale et deux victoires. La Finale Meuse et Triangle remet tous les compteurs à zéro. Trois compétiteurs (Daniel Voltz de Ligny-en-Barrois, André Mohamed de Commercy et Gilles Durst de Saint-Dizier) le rejoignent et chacun espère écrire sa propre histoire et se qualifier pour la Finale de Ligue du Grand Est à Troyes, les 25 et 26 mars.
Tour 1 - Un démarrage timide entre André et Daniel, le linéen accentue sa légère avance avec trois séries de 4. André n’arrive pas à s’extirper du mauvais sort, une série de 5 en fin de match donne un bref espoir. Espoir stoppé par Daniel qui boucle les 25 points en 35 reprises, 15 pour André.
Confrontation poussive entre le bragard et le sammiellois, Gilles s’accroche à quelques carambolages. Dylan tient bon et assure l’essentiel : 25-20 en 51.
Tour 2 - Gilles malmène André, le commercien toujours dans un cercle vicieux. Dylan débute solidement (12 à la 14e) contre Daniel. Fort de son expérience, le linéen patiente et a raison. Dylan affronte une échelle terrible avec 3 en 30 coups, Daniel remonte au pas. André parvient dans les dernières reprises à inverser la tendance et bat Gilles (23-21 en 60).
Le titre territorial est encore possible pour le sammiellois : vaincre André avec une bonne moyenne générale, et surtout espérer une défaite de Daniel face à Gilles.
Tour 3 - Vœux exaucés. Dylan prend ses responsabilités, les choix et la visée sont meilleurs, tout marche ! Le billard et ses mystères. André ne peut que subir sur cette partie : 25-13 en 22, le sammiellois signe sa première partie au-dessus de la barre symbolique de 1 soit 1,136.
Gilles commence semblablement aussi bien que Dylan, Daniel accuse le coup lors de la troisième séance de jeu. Très vite, tout le monde comprend que le titre échappe à Daniel. Gilles clôt cette journée avec un point rouge honorifique : 25-12 en 58.
Certes, Dylan s’en sort bien, cela récompense la régularité sur l’ensemble du circuit. Sa qualification paraît, en conséquence, toute logique. À suivre, tout est possible, ce n’est que du bonus...